Un sondage mené auprès d’un échantillon de Français révèle les 10 postes de travail que nous ne sommes pas prêt à accepter. Les voici.
1. Chargé d’affaires en banque : un travail que personne ne veut
Le conseiller bancaire ou chargé d’affaires ne fait pas rêver les Français. Vendre des crédits immobilier ou des crédits conso, vendre des produits d’épargne ou conseiller un client n’attire pas les foules. La banque ne plaît plus autant qu’avant.
2. Chaudronnier
Souder, manipuler, porter, plier des pièces en métal toute la journée sur des lignes de production en usine… Le métier de chaudronnier compte parmi ceux qui ne plaisent pas en France. La pénibilité de la tâche en est une des explications.
3. Dessinateur : un travail minutieux
Le travail de dessinateur industriel ou technique requiert du savoir-faire, de la maîtrise technique, des compétences. Un métier qui a toutes les peines du monde à trouver des candidats.
4. Administrateur de système
L’administrateur de système est en charge de la maintenance des serveurs informatiques d’une entreprise ou d’une organisation. Un travail pointu et méticuleux que les Français rechignent à faire.
5. Menuisier
Les métiers manuels ont beau être rémunérateurs, celui de menuiser rebute les Français. La pénibilité du travail doit faire peur.
6. Technicien maintenance & SAV
Le métier de technicien en maintenance & SAV ouvre sur de nombreuses opportunités d’emplois dans des domaines très variés. Malgré cela, de nombreuses offres restent vacantes.
7. Ingénieur en bureau d’études
Étonnamment, le métier d’ingénieur en bureau d’études n’attire pas du tout les foules. La charge de travail, les responsabilités et la complexité des tâches en sont des explications.
8. Electricien
Voici un autre travail manuel que les Français n’apprécient pas plus que ça. En tout cas, ils ne se voient pas l’exercer durant toute leur carrière. Alors que le secteur offre de nombreuses opportunités de jobs.
9. Tourneur-fraiseur
Les métiers liés à la production, à l’industrie, aux mondes des usines n’ont pas le vent en poupe. Celui de tourneur-fraiseur en fait partie, les Français craignant la pénibilité du travail ainsi que les faibles perspectives d’avenir de la profession.
10. Ingénieur informatique
Depuis quelques temps, on assiste à un certain rejet de la part des actifs français pour la profession d’ingénieur en informatique. Le côté répétition des mêmes tâches est perçu comme rébarbatif.